Rêves 1, 2, 3,

Publié le par Gabrielle Bischoff

Rêve 1

On naît, on s’éveille, et le navire ravine la magie du millepatte et engendre un tas de phénomènes grignotant l’avenier du fœtal élan, minaudant le perclusif délire, se faufilant dans l’intrinsèque et minime saveur du délire possible des vapeurs premières du début du monde, galvanisé par le gaz néon et la stupeur rampante de l’éclectique moelle du millepatte assis-succinct soudain par l’ardeur gazeuse du rêve des culs n’étant que 326…

Rêve 2

INTERMI NABLEMENT.

‘’Passé un point, il n’est plus de retour, c’est ce point qu’il faut atteindre’’ pour flâner dans les rues prolixes et glissantes percluses de vinifications et de signalisations infructueuses puisque enclines à virer au bleu merde méprisant les devantures enrichies de fétides plumages se faufilant par devant les vitrines indûment colorées et les boulangeries bio attenantes : merde. Entre ravissements et piaillements climatiques les immeubles un peu trop concentrés autour du fleuve naturel semblaient serrer le parfait passant innocenté par son absurde accoutrement, merde, à tel point que le résultat de la Poole 24 entre le Brésil et l’Erythrée se chiffre en zébrures attentives ;

Mais il n’en avait cure, car suivant son instinct frondeur et curieux il tomba sur la médiathèque ouverte. ’’Sur terre battue cette joyeuse Tchèque aborda son 2ème set dans la joie ‘’ et se pencha immédiatement sur les annonces du jour, prolixes en évènements inavouables et ‘’Cette fraction d’opéra interprétée par Ina Finkelkraut en 1952…’’ et donc il sût comment gérer son errance parmi les voies inconnues et dilatées.

‘’ Il court après les faits comme un débutant en patin à glace,

qui de plus, s’entraine en zone interdite ’’

 

Rêve 3

Le rêve du fœtus

’’Chaque homme a un double, et lorsqu’il le voit, la mort est proche.’’

‘’Je ne dis rien, c’est le Moqwjo qui parle.’’

D'ailleurs dans cette situation d’enfermement extraordinaire, mais captivante où je vous causerai, supportant le mouvement des gaz maternels incontrôlés et sautillants, je me verrai subodorant de félicité et surfant avec les nodules y afférant ; mais il me sera difficile, sinon impossible de projeter dans un avenir (c’est chaud la race) alors que dans ce cloaque éternel et chavirant, surtout en cas de séisme intraphléboïtique, il me sera sirupeux sinon impossible d’en éviter le désastre.

‘’et voilà ! merci de votre attention !’’

 

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